Accueillir un public en difficulté demande des savoir faire et compétences spécifiques : l’écoute est au centre de cette relation. Mais comment fait-on pour écouter une personne de façon active et empathique, sans se laisser envahir ?
Quels sont les freins à l’écoute empathique, qui risquent de me faire passer « à côté » de ce que vit la personne et qui peuvent freiner la qualité de l’accompagnement?